Portes d’Afrique
L’idée était née quelques années plus tôt en Asie, sur une jonque chinoise. « Nous voulions montrer de l’Afrique une autre image que le triptyque guérilla, sécheresse famine, pour nous attarder sur les aspects positifs de ces villes et montrer comment ces ports fonctionnaient ».
« Les ports de mer n’appartiennent à aucun pays. Ils sont à ceux qui naviguent, rêvent, voyagent, échangent. Ceux qui ne sont pas ancrés mais vivent de départs et d’arrivées. Les ports d’Afrique n’échappent pas à cette règle mystérieuse. Ils sont du sud et du nord à la fois, de la côte et des grands espaces intérieurs. La mémoire des mondes qu’ils bordent, et par là même, le sel de leurs lendemains. »
Carnet de voyage de Thomas Goisque à découvrir dans Numéro 6
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