A l’adolescence, Jean-David Laurence découvre ce qui deviendra rapidement sa passion et son métier : le voyage.
Un appareil photo discret et apprivoisé s’installe comme témoin de ses pérégrinations. Il s’impose comme un compagnon fidèle et précieux.
L’objectif : fixer l’instant, vivre la photo comme un prolongement du voyage, partager ses émotions.
Vient avec la force de l’âge et l’expérience, l’envie et le besoin de coucher sur le papiers les impressions et le savoir acquis au cours des rencontres.
Un carnet « Moleskine » à la peau douce et rassurante rejoint l’appareil photo et reçoit les idées les plus fantasques comme les récits les plus imaginatifs.
L’écriture et la photo se conjuguent alors à tous les temps.